La construction de monuments aux morts dans les communes est une particularité de la Première Guerre mondiale : des monuments antérieurs existent comme le monument à la mémoire des enfants de Sissonne (situé dans le cimetière), qui commémore les soldats tués durant la guerre de 1870-71) mais ils ne sont pas nombreux et pas spécifiquement communaux.
L'ampleur des pertes humaines de la Grande Guerre (1 357 000 morts), l'apparition, pendant le conflit, d'un culte des soldats tombés sur le champ de bataille, la volonté d'honorer les soldats-citoyens poussent à la création de monuments aux morts dans chaque commune française.
Ces monuments sont donc dus d'abord à la volonté communale, encouragée néanmoins par le gouvernement (selon la loi du 25 octobre 1919, une subvention d'Etat est accordée aux municipalités).
Inaugurés pour la plupart avant 1922, les monuments manifestent un patriotisme évident (on essaie de retrouver les accents consensuels de l'Union Sacrée, à un moment où celle-ci n'est plus qu'un souvenir) mais ils expriment surtout un profond civisme républicain, comme l'a montré, dans un article célèbre, Antoine ProstPROST, Antoine, "Les monuments aux morts. Culte républicain ? Culte civique ? Culte patriotique?", in : NORA, Les lieux de mémoire, I, La République, Paris : Gallimard, 1984, pp. 195-225 : chaque monument inscrit pour l'éternité le nom des morts, dans le respect des individus et du principe d'égalité républicaine (l'ordre d'inscription des noms est en général alphabétique, sans indication du grade).
La place du monument, dans un endroit important de la commune (près de la mairie, de l'école ou, parfois, de l'église) et surtout les cérémonies qui l'animent lors du 11 novembre (qui ne devient fête nationale que par la loi du 24 octobre 1922, sous la pression des anciens combattants) contribuent à faire naître un "culte républicain", qui, durant l'entre-deux-guerres est très codifié : la cérémonie du 11 novembre commence par un cortège, ouvert par les enfants et fermé par les anciens combattants, qui conduit au monument ; face à celui-ci, la foule écoute les discours puis l'appel des morts (à l'appel de chaque nom de défunt, un enfant ou un ancien combattant répond "mort pour la France") avant que ne retentissent la Marseillaise et la sonnerie aux morts. Les monuments aux morts permettent donc aux Français de se retrouver dans une cérémonie civique destinée, non pas à valoriser la guerre, mais à manifester l'hommage de la Patrie aux citoyens.
C'est l'entreprise de M. Félix Laffineur d'Hirson, qui a établi les plan et retenue et réalisera les travaux est arrêté. Le montant du devis est de 20.000 francs.
Arès une longue discussion sur l'emplacement du monument, il est décidé à l'unanimité des Conseillers Municipaux présents, qu'il sera érigé sur la place publique dénommée "Petite Roize"L'actuelle place Renée Fleury..
Voir le compte rendu intégral de la séance
La carte souvenir : Pendant la journée vente de Photographies du Monument etc...
"Une louable émulation anime les habitants : de toutes parts on en est aux préparatifs et tout permet d'espérer que cette fête du "souvenir" sera une belle et réconfortante manifestation.
Le beau monument est maintenant en place et dresse sa silhouette voilée jusqu'au jour del'inauguration sur la place de la Petite Roize.
Qu'il nous soit permis d'imiter les enfants à considérer dès maintenant le monument et la place qui l'entoure comme un véritable tombeau, tombeau glorieux, autour duquel les jeux seront déplacés.
Que chacun, et les petits surtout, se constituent les gardiens de ce coin de Sissonne où doit régner toujours une atmosphère de pieuse admiration. Aux parents, aux maîtres et maîtresses de le redire.
Pour que cet emplacement, que l'inauguration consacrera bientôt, reste d'un accès facile, non enclos, il suffit que chacun se persuade bien que, désormais, il sera le rendez-vous de ceux qui aiment à se souvenir. "
H. CROSNIER.
Maire de Sissonne.
Dimanche dernier a eu lieu l'inauguration du monument élevé à la mémoire des enfants morts pour la France, sous la présidence du délégué du Préfet de l'Aisne, M. Clarinval conseiller de préfecture, assisté de MM. Rillart de Verneuil, député, Nanquette, conseiller général, Durosoy, conseiller d'arrondissement, Crosnier, maire de Sissonne. De nombreux délégués des sections voisines d'A.C. étaient présents.
Ceci est le travail de plusieurs années venant compléter ce qui avait été réalisé dans les Ardennes sur les soldats tués sur la ligne Hunding-Stellung.
Grâce à la rigueur historique et à la ténacité de Jean-François MARTIN dans la recherche de la vérité et dans la réalisation de ce projet, le 11 novembre 2018 a été inauguré le Mémorial de Sissonne ainsi que ceux de La Selve et Nizy-le-Comte
Consultez ICI la liste des tués sur le territoire de Sissonne.
(On peut trier le tableau en cliquant sur l'entête de colonne "Commune")
Sur 5 parcelles communales situées route de Lappion et totalisant une surface de 5 ha, 221 tilleuls sont plantés depuis le 23 novembre 2020, avec la collaboration de 15 membres de la compagnie commandement et logistique du Cenzub 94e R.I. et vont constituer un mémorial vert en hommage aux 214 militaires et 7 civils morts sur le territoire de la commune entre le 12 octobre et le 11 novembre 1918, chacun des arbres étant personnalisé au nom d'une des victimes.
Une stèle a été inaugurée en hommage à Jean-François Martin décédé le 25 septembre 2019 à l’âge de 69 ans.
Passionné d’histoire et de généalogie, il a mené durant 35 ans des recherches dans les archives locales et a écrit six ouvrages sur l'histoire de la région.
Désormais, le mémorial vert portera le nom de "Bois Jean-François Martin".
-- ========================================================================================================================================= -->Né le 30 mai 1892 à Sissonne
Classe 1912.
Caporal au 287e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 12 juin 1918 à Belloy-en-Santerre, dans la Somme (80), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 30 octobre 1919 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 13 août 1885.
Classe 1905.
Informations à caractère médical.
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 30 septembre 1882 à Sissonne.
Classe 1902
Soldat de 2e classe au 91e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 2 novembre 1914 à Saint-Hubert, dans la Marne, tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 14 novembre 1919 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Circonstances du décès :
Extrait de l'historique du 91e Régiment d'Infanterie. (Anonyme, A. Anciaux, 1920)
Sur ces positions reconquises, l'ennemi va s'acharner. Ses attaques répétées nécessitent l'entrée fréquente en ligne des réserves, privant de repos les bataillons, qui sont toujours sur le qui- vive.
La guerre de position commence. Les hommes sont sans couvertures, sans toile de tente, il est impossible de faire du feu, il pleut, les premiers froids se font sentir, le ravitaillement s'effectue seulement la nuit, où les aliments froids sont apportés difficilement. L'esprit de sacrifice de tous forme un héroïsme unique, celui du 91e R.I, qui sait offrir sa souffrance pour apprendre à l'ennemi, comme il le reconnaîtra lui- même, qu'il ne pourra jamais briser une ligne tenue par le Régiment.
Pendant tout le mois de novembre, le 91e tient ce secteur de Saint-Hubert et de Fontaine-Madame contre un ennemi très supérieur en nombre et en matériel. Et c'est encore aux unités en réserve du régiment que l'on fait appel, lorsque l'ennemi attaque par surprise.
Né le 27 juin 1881 à Bordeaux, dans la Gironde (33).
Classe 1901.
Sergent au 1e Régiment de Zouaves.
Mort pour la France le 30 septembre 1914 à La Vallée-Foulon, dans l'Aisne (02), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 25 septembre 1919 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 21 juin 1893.
Classe 1913.
Soldat au 164e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 5 avril 1915 à Hermeville-Etain, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 9 novembre 1919 à Sissonne (02).
Inhumé à Verdun (55), dans la Nécropole Nationale « FAUBOUR PAVE », tombe individuelle 4305, dans le carré de 1914/1918.
Né le 24 janvier 1890 à Marchais (02).
Soldat de 2e classe au 132e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 5 décembre 1914 aux Eparges, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 29 décembre 1919 à Montaigu (02)
Né le 1 juin 1884 à Sissonne (02).
Classe 1904.
Soldat de 1e classe et Clairon au 49e Bataillon de Chasseurs à pied.
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Wysschaëte (Belgique), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 3 août 1920 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 5 mai 1888 à Sissonne.
Classe 1908.
Soldat de 2e classe au 59e Bataillon de Chasseurs.
Mort pour la France le 22 février 1916 aux Bois des Caures, dans la Meuse (55), disparu à l'ennemi.
Jugement transmis le 25 septembre 1920 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 22 mars 1890 à Sissonne.
Classe 1910.
Soldat au 132e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 26 juin 1916 à Senoncourt, dans la Meuse (55)l'ambulance ...., mort à la suite de ses blessures.
Inhumé à Quatre-Vent (55), dans la Nécropole Nationale « Senoncourt-les-Maujouy », tombe individuelle n° 225.
Né le 11/06/1882 à Suin (02.)
Soldat au 9e BCP -
Tué à l'ennemi.
Décédé le 17/09/1916 à Berny-en-Santerre (80).
Inhumation : Maucourt (80), Nécropole Nationale « Maucourt », tombe individuelle n° 429.
Né le 12 avril 1893 à Morval (02).
Classe 1913.
Sergent au 155e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 25 mai 1916 à Douaumont, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 14 octobre 1919 à Sissonne (02)
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 21 janvier 1886 à Sissonne.
Classe 1906.
Soldat au 2e Régiment de Zouaves.
Mort pour la France le 21 juillet 1916 à Verdun devant Fleury, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 9 novembre 1919 à Sissonne (02)
Né le 10 juillet 1887 à Sissonne.
Classe 1907.
Soldat au 245e Régiment d'Infanterie, 15e Compagnie.
Mort pour la France le 7 aout 1916 au camp de Kellermann, en Alsace, tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 15 mars 1919 à Montaigu (02)
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 31 mars 1892 à Sissonne.
Classe 1912.
Soldat de 2e classe au 132e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 1 septembre 1914 à Septsarges, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 21 octobre 1920 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 17 septembre 1889 à Bichancourt (02).
Classe 1909.
Soldat de 1e classe au 11e Régiment de Cuirassiers à Pied.
Mort pour la France le 24 mars 1918 à Commenchon, dans l'Aisne (02), renseignements sur le décès inconnus, porté disparu.
Jugement transmis le 24 février 1922 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 18 aout 1893 à Reims (51).
Classe 1913.
Soldat de 2e classe au 19e Bataillon de Chasseurs.
Mort pour la France le 17 octobre 1914 à Hartinigen, en Allemagne, suite à blessure de guerre.
Jugement transmis le 9 août 1920 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 27 janvier 1884 à Sissonne.
Classe 1904.
Soldat au 45e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 8 septembre 1914 au bois de la Gruerie, dans la Marne (51).
Déclaré disparu, décédé par jugement déclaratif.
Jugement transmis le 7 juin 1921 à Sissonne (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 21 mars 1892 à Sissonne (02).
Classe 1912.
Sergent au 9e Régiment de Génie, Compagnie 6/2.
Mort pour la France le 26 mars 1916 au Mort-Homme, dans la Meuse (55), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 25 septembre 1919 à Sissonne (02).
Né le 28 décembre 1890 à Montaigu (02).
Classe 1910.
Soldat de 2e classe au 294e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 15 mars 1916 au Nord-Ouest de Souain, dans la Marne (51), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 19 décembre 1919 à Sissonne (02).
Inhumé à Souain-Perthes-les-Hurlus, Nécropole Nationale « LA CROUEE », tombe individuelle n° 1395, carré 1°E.
Né le 12 octobre 1880.
Classe 1900.
Informations à caractère médical.
Caporal au 6° Bataillon de Chasseurs Territoriaux.
Mort pour la France le 10 décembre 1918 à Hesingue.
Inhumé à Altkirch, dans le Haut-Rhin, Nécropole Nationale « Altkirch », tombe individuelle n° 17.
Né le 26 décembre 1891 à Sissonne.
Classe 1911.
Fils de Aristide MALHOMME et de Marthe DELEMME, célibataire, cultivateur de profession.
Appelé le 8 octobre 1912 au 67e Régiment d'Infanterie.
Mobilisé le 2 août 1914 au 67e Régiment d'Infanterie.
Brigadier le 3 novembre 1914 .
Sergent le 8 mars 1915.
Adjudant le 5 novembre 1916.
Passe dans l'aviation le 12 mars 1918, en tant qu'élève-pilote.
Nommé pilote le 14 juillet 1918.
Sert dans l'escadrille 155e Groupe de Bombardement.
Passe au Centre d'Instruction de l'Aviation de Chasse et de Bombardement le 7 octobre 1918.
Mort pour la France le 10 novembre 1918, à l'ambulance 3.65 de Cuperly, dans la Marne (51), suite à accident en service commandé.
Jugement transmis le 10 novembre 1919 à Sissonne (02).
Citation à l'ordre du Régiment le 14 mars 1915 et le 9 avril 1915.
Citation à l'ordre de la Brigade en novembre 1916.
Citation à l'ordre de la Division en mai 1917.
Citation à l'ordre de l'Armée en octobre 1915.
Médaille militaire en octobre 1915.
Inhumé dans le cimetière communal de Sissonne.
Soldat au 19e Régiment d'Infanterie.
Mort à Bagatelle le 30 mai 1915, à l'âge de 23 ans.
Né le 15 novembre 1893 à Sissonne (02).
Classe 1913.
mort
Soldat de 2e classe au 161e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 29 janvier 1915 au Bois de la Gruerie, dans la Marne (51), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 25 janvier 1920 à Montaigu (02).
Né le 7 mars 1889 à Sissonne.
Classe 1909.
Soldat de 2e classe au 155e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 11 novembre 1916, dans la tranchée de Berlin, à Sailly-Saillisel, dans la Somme (80), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 23 mars 1920 à Berrieux (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 8 septembre 1884 à Seraincourt (08).
Classe 1904
Soldat au 147e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 1 mars 1915 à Mesnil-les-Hurlus, dans la Marne, disparu au combat.
Jugement transmis le 22 juillet 1921 à Sissonne (02)
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 3 avril 1882 à Montaigu (02).
Classe 1902.
Soldat de 2e classe au 268e Régiment d'Artillerie de Campagne.
Mort pour la France le 30 juillet 1917 à l'ambulance 2/5 à Dugny, dans la Marne (51), des suites de blessures de guerre.
Jugement transmis le 15 mars 1919 à Montaigu (02).
Né le 26 juin 1883 à Sissonne (02)
Soldat de 1e classe au 19e Bataillon de Chasseurs Alpins, 3e Compagnie.
Mort pour la France le 27 septembre 1918 à Hattencourt, dans la Somme, à l'ambulance 7/13, décédé des suites de ses blessures.
Jugement transmis le 9 décembre 1919 à Sainte-Preuve (02).
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 3 décembre 1876 à Machault (08).
Classe 1896.
Soldat au 88e Régiment d'Infanterie Territorial, 2e Compagnie.
Mort pour la France le 12 novembre 1917 à l'ambulance 13/17 de Courville, dans la Marne (51), des suites de blessures de guerre.
Jugement transmis le 26 juin 1918 à Paris (1e arrondissement) car domicilié au pays envahi de Sissonne (02).
Inhumé à Bligny, dans la Marne (51), Nécropole Nationale « LA CROIX-FERLIN », tombe individuelle n° 1908.
Né le 17 avril 1891 à Chaourse (02).
Classe 1911.
Sergent au 45e Régiment d'Infanterie, 2e Compagnie.
Mort pour la France le 20 décembre 1914 à Etinehem près de Bray-sur-Somme, des suites de blessures de guerre.
Jugement transcrit le 17 mars 1919 à Chaourse (02).
Inhumé à Bligny, dans la Marne (51), Nécropole Nationale « LA CROIX-FERLIN », tombe individuelle n° 1908.
Né le 3 septembre 1878 à Reims (51).
Classe 1898.
Soldat de 2e classe au 22e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 30 septembre 1918 à Sainte-Marie-à-Py, dans la Marne (51), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 8 mai 1922 à Sissonne.
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 25 octobre 1874 à Sissonne.
Classe 1914.
Soldat de 2e classe au 155e Régiment d'Infanterie.
Mort pour la France le 29 janvier 1915 au Bois de la Gruerie, dans la Marne (51), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 20 mai 1921 à Montaigu.
Lieu d'inhumation inconnu, pour l'instant.
Né le 30 novembre 1882 à Sissonne (02).
Classe 1902.
Adjudant au 54e Régiment d'Infanterie.
27 septembre 1915 à Souain, dans la Marne (51), tué à l'ennemi.
Jugement transmis le 28 mai 1915 à Compiègne.
Inhumé à Suippes, dans la Marne (51), Nécropole Nationale « SUIPPES-VILLE », tombe individuelle n° 3895.
Né le 04 septembre 1915 à Sissonne (02).
Classe 1935.
Mort pour la France le 09 juin 1940 à Thil (76), tué au combat
Cote du dossier AC-21P-55757
Né le 5 juin 1915 à Sissonne (02).
Classe 1935.
quartier maître chauffeur
Mort pour la France le 24 juillet 1940 au large de Southampton, torpillage du paquebot "Meknès" dans l'Atlantique par une vedette allemande
Cote du dossier CC8-62H-9161
Né le 20 juillet 1920 à Châlons sur Marne.
Forces françaises de l'intérieur (F.F.I.)
Mort pour la France le 30 août 1944 à Montigny le Franc, tué par balle
Cote du dossier AC-21P-165942
Né le 22 septembre 1913 (02).
Classe 1933.
Mort pour la France le 1er mars 1945 en Allemagne, tué sous les bombardements
Cote du dossier AC-21P-174783
Sergent-Major à la Mission militaire française Suyd-Vietnam
Né le 5 avril 1920 à Paris 06.
Classe 1940.
Mort pour la France le 6 janvier 1952 à Cua My Thanh (Cochinchine), noyade accidentelle
Lieu de transcription : Plessis Mazainvillers (80)
Caporal-chef au 22e régiment de tirailleurs cambodgien
Né le 1er février 1925 à Orainville (02)
Classe 1945.
Mort pour la France le 13 novembre 1946 à Xon Deux (Indochine)
Lieu de transcription : Sissonne (02)
Caporal-chef au 2e bataillon parachutistes coloniaux
Né le 11 février 1931 à Sissonne (02)
Classe 1951.
Mort pour la France le 11 juillet 1952 à l'hôpital de Lanessan Hanoï (Tonkin), maladie
Recrutement Valenciennes, Matricule au corps 1372
Lieu de transcription : Sissonne (02)
Né le 5 juillet 1931
Classe 1951.
Mort pour la France le 2 juillet 1956 en Algérie
Né le 26 février 1938
Classe 1958.
Mort pour la France le 19 juin 1961 en Algérie
Recherches : J.F. Martin - Source principale : Mémoire des Hommes
Source des photos : Gérard Berriot
Mise en page : PH.